Entrepreneure depuis quatre ans, Solène Feig débute son activité en 2018 alors qu’elle réside au Canada. A cette époque, elle exerce en tant qu’assistante chargée de projet dans un cabinet de traduction, mais l’expérience lui plaît peu. Elle rêve déjà depuis quelques années de lancer sa propre activité, mais le manque de confiance en elle et la peur de l’échec la freinent. Elle participe à un premier séminaire d’entrepreneurs, qui agit en elle comme un déclic et la pousse à prendre le risque de se lancer.

Elle débute ses premiers pas en tant qu’entrepreneur avec le marketing de réseau et développe en parallèle sa communauté sur les réseaux sociaux. Elle partage du contenu autour de ses passions, du voyage et du développement personnel, et commence rapidement à fédérer une communauté de plus de 15000 abonnés. De fil en aiguille, elle développe son réseau et commence à faire la connaissance d’autres entrepreneurs, dont Christopher Wangen, un expert de l’immobilier. A cette époque, il lance un programme de formation en investissement immobilier et propose à Solène de lui apporter des clients sur lesquels elle touchera une commission. “A cette époque, je ne connaissais rien du marketing d’affiliation, mais je décide de saisir l’opportunité et de me lancer dans l’aventure” déclare-t-elle.

Convaincue de la qualité du contenu de Christopher, elle commence par le proposer de manière spontanée à sa communauté. Le premier mois, elle génère déjà plusieurs milliers d’euros. Elle développe sa stratégie d’acquisition et son expertise, jusqu’à devenir plusieurs mois plus tard la meilleure affiliée de Christopher avec un million cinq-cent mille euros de chiffre d’affaires généré pour ses formations à elle seule.

Tout semble sourire à Solène Feig, qui génère à cette époque des revenus confortables et bénéficie d’une liberté géographique et temporelle. Pourtant, elle commence à se remettre en question et à douter de son parcours. A la même époque, la crise pandémique débute peu à peu et elle décide de partir à Bali pour créer Auraya, une marque de soins beauté pour le visage. Bien que sa nouvelle activité lui plaise beaucoup plus, elle doute. “En partant à Bali, j’ai ressenti le besoin de prendre du recul et travailler sur mes blessures intérieures pour évoluer. Sans ce cheminement, il était impossible pour moi de me découvrir vraiment, et de savoir quelle activité était faite pour moi” explique-t-elle. Ce travail sur elle-même lui fait découvrir sa vocation d’accompagner et d’aider les autres à atteindre leurs objectifs.